Année de souffrance pour la presse égyptienne

المرصد العربي لحرية الاعلام

10 مارس، 2015

rapport annuel sur la situation de la liberté de presse et de l’information en Egypte

des numéros

3 journalistes tués.

101 journalistes en prison sans compter ceux qui ont été libérés.

40 journalistes blessés.

500 cas de violence contre les reporteurs et les photographes.

Les journaux et les sites d’information privés sont les plus touchés.

La fermeture de 2 journaux et 4 chaines de télévision (1 chaine égyptienne et 3 chaines irakienne)

La fermeture du réseau d’observation et tramway radio.

les perquisitions de police des siège des journaux Alwatan et Alfath et le groupe Alyakine.

Censure d’un tirage des journaux Alwatan, Almiri alyam, Alwadi, et Almisrioune.

Arrêt total ou partielle de 10 programmes dans des chaines publics et privés pour des raisons politique.Les titres de ces programmes sont:

athouares liakhar mada (les révolutionnaires jusqu’à la fin de l’ échelle), animé par la journaliste Hanna Khamisse, bissaraha (franchement) de Djamel Achair, assabia massa (sept heure du soir) de Dinna Abdrahmane, koulouna wahed (nous sommes tous un) de Marwi majdi, le programme de Bassem Youcef, fi almaliane ( en plein) de Rania Badaoui, Akhar kalame( le dernier mot) de Yousri Fouda, al achira massa ( dix heure du soir) de wail Alabrachi, Akhar anahar( fin de la journée) de Mahmoud saâd, et le programme de la danseuse Dina.

Des dizaines de noms sont sur des listes d’interdiction de voyager et effectivement on n’a pas laissé 6 personnes quitter le territoire national. L’affaire d’Aljazeera et le centre d’information de Rabia .

une amende de 50 millions de livres égyptienne contre Bassem Youcef et 305 million de dollars contre Salah Abdalmakssoud.

On viole toujours la charte d’honneur du journaliste en incitant à la haine et à la violence.

introduction

la liberté de presse en Egypte a connu plus de répression en 2014 de la part du pouvoir mise en place après le coup d’état du3 juillet 2013 et l’élection du maréchal Sissi président de la république. Cette liberté que les égyptiens ont découvert après la révolution du 25 janvier 2011 et que les modifications de la constitution de 2014 ontamplifié dans l’article 71 qui interdit la fermeture de maison de presse et l’arrestation de journalistes à cause de leurs opinions politiques.

L’année 2014 a commencé par l’assassinat de Mohamed Hilmi photographe indépendant et Mustapha douh photographe dans le groupe d’informtion Nabdh le 25 janvier, puis le 28 du même mois les policiers ont tirés et tués la journaliste Miada Achraf rédactrice au journal Adasstour et avec cela la nombre de mort a atteint 10 morts depuis le 3 juillet 2013.

On a pu noté 255 cas d’agression envers les travailleurs dans les médias à cause de leurs positions politiques sans compter les violences qui n’ont pas été signalées par peur de représailles. On a constaté que les plus confrontés sont ceux qui travaillent dans les journaux et les sites indépendant car ces reporteurs et photographes sont envoyés la bat sans couverture sécuritaire ou juridique part contre les moins confronté sont les journalistes des institutions publique qui sont tout le temps escortés par les forces de l’ordre. On a constaté aussi la diminution des agressions chez les travailleurs dans les canaux satellites car ces chaines font de plus en plus attention à leurs reporteur et leurs matérielle après leurs pertes dans les six mois précédant.

En plus des journalistes mort ou blessés et des agressions verbales et les détentions provisoires et la destruction du matérielle ou sa confiscation ou d’arrestations par ordres juridiques.( l’observatoire s’est intéresse uniquement au percussions politique)

l’année a vu la fermeture de deux journaux sont Achaab Aldjadid (le nouveau peuple) et Wassla( le lien), et la fermeture de quatre chaînes, une d’entre elle est égyptienne qui émis de l’étranger qui a pour nom Foulloul de l’artistes Sisma Almasrine et les trois autres chaînes sont des chaînes irakiennes radiodiffusion de l’Egypte, et la fermeture de tramway Radio et le réseau de surveillance après deux raids , et la perquisition du réseau Alyakin et le journal Al-Watan et Alfath, et l’arrêt ou la désactivtion d’impression pour les quatre journaux égyptiens qui se prénomment Almasri Alyawm( l’égyptien d’ aujourd’hui) et Alwatan( la patrie) etAl wadi almasri( la vallée égyptienne), ainsi que la cessation complète ou temporaire de dix programmes télévisé dans les chaînes publiques et privées sur des fonds politiques.

Ils a été émises au cours de l’année 2014, de nombreuses décisions de justice contre les journalistes et travailleurs des médias, comme des peines de prison dans ce qui est connue la cellule de Marriott où des peines de prison de 7-10 ans ont été émises contre 17 personnes (7personnes étaient présentes) , parmi elles les journalistes d’Aljazeera Peter Greste et Baher Mohamed et Mohamed Fahmy, et des condamnations dans l’affaire connue sous le nom de voiture de transmission qui sont dix ans de prisons fermes contre Salah Abdel-Maksoud,ex- ministre de l’Information et le secrétaire du syndicat des journalistes et ex chef de la radio secteur de l’ingénierie Amro Khafif et qui ont été aussi condamné à payer une amende de 3,5 millions $,sans oublier Bassem Youssef qui était contraint à payer un montant de 50 millions de livres pour la chaîne CBC.

L’année a vu l’interdiction de voyager à certain journalistes , et le licenciement de 6 éminents journalistes des chaînes de télévision d’Etat en raison de leur travail dans des chaines anti-gouvernement.

L’année a également vu la poursuite de l’incitation à la haine dans un grand nombre de médias égyptiens,au point où certain ont demandé de tuer des milliers d’Egyptiens hors la loi pour arrêter les manifestations sous le motif qu’elles. portent atteinte à la sécurité nationale du pays

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